« L’anxiété peut émerger lorsque notre quotidien et nos actions ne reflètent pas notre vérité intérieure. » (C.G Jung)
Ça c’est dit, ça fait super bien dans une publication pour les réseaux sociaux mais concrètement ça ne nous avance à rien si on ne comprend pas le sens profond de cette phrase. 
Tâchons de définir ce qu’est notre vérité intérieure.
On peut la résumer ainsi : Une compréhension lucide de nos forces, faiblesses, valeurs et motivations. C’est accepter nos zones d’ombre et nos contradictions, sans jugement ni déni.
Pour connaitre sa vérité intérieure, il est nécessaire de faire un travail d’introspection profond, d’accepter de mettre à nu des parts de nous-mêmes très enfouies.
C’est long, parfois douloureux, ça empêche de dormir par moment, ça implique de faire appel à un professionnel mais ça en vaut la peine. 
Pourquoi ? 
Parce que ca permet de synchroniser ce que nous sommes avec ce que nous faisons dans la vie. Et ça, ce n’est pas rien !
D’après Jung, c’est ce qui permet de se libérer de ses névroses et de son anxiété.
Mais comment accéder à cette connaissance de soi ? Cela passe par une exploration de nos mécanismes psychologiques les plus profonds, et notamment par la compréhension de notre fonctionnement cérébral.
Comment ?
En apprenant à se connaitre bien au-delà de ce que nous pensons savoir sur nous-même. Avant d’aller chercher des solutions miracles auprès des vendeurs de rêves qui vous promettent une vie géniale si vous suivez ses 5 astuces qu’il vous donnera gratuitement si vous suivez sa formation à 5 000 €…
Se connaitre implique également de comprendre les mécanismes du cerveau. Apprendre que vous avez deux modes de réflexions et de réactions tels que le système 1 qui en résumé vous permet de conduire sur une route familière de façon automatique tout en discutant avec un passager des causes de la disparition des dodo et le système 2 qui lui vous permet de vous représenter mentalement une opération à deux chiffres ou qui vous permet de déceler que ce politicien vous raconte ce que vous avez envie d’entendre.
Et comme ci ça ne suffisait pas, il faut ajouter les biais cognitifs qui influent sur nos jugements et nos actions.
Et donc ?
Ce que je vous propose, c’est de méditer sur ce post et de prendre contact avec moi pour en discuter et définir ensemble le suivi le plus approprié à ce que vous êtes, vos besoins, vos attentes…
Je suis psychopraticien, organisateur de salons du bien-être et formateur sur les biais cognitifs et leurs influences discrètes dans notre vie.
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